lundi 16 septembre 2013

Une lucrative nouvelle croix

Une nouvelle forme de croix que les églises chrétiennes devraient peut-être songer à adopter.
Quand la situation est devenue catastrophique dans le passé en ce qui a trait aux revenus qu'elles pouvaient tirer des fidèles, ces églises ont toujours su s'adapter.
L'invention progressive des sacrements a été une forme de ces adaptations (pensons, par exemple, à l'invention du mariage comme sacrement au 12e siècle après Jésus-Christ : en devenant ce qu'il n'était pas jusque-là, le mariage a rapporté des montants salvateurs aux églises ; pensons ensuite à l'invention du baptême des enfants qui n'a pas été sans bénéfices immédiats et à long terme ; à l'invention de la confession, avec ses lucratives pénitences (ce n'était presque jamais une dizaine d'« Ave Maria » mais souvent de coûteux pèlerinages), et je ne parle ni de l'eucharistie -excellents bénéfices tirés de la fabrication des hosties-, ni de l'extrême onction, etc.)
Voyez ce que cette nouvelle forme de la croix (pas plus absurde que les formes qu'on lui attribue jusqu'à présent) pourrait peut-être amener dans l'accroissement de la fréquentation des églises (et, par conséquent, des bénéfices de la quête) :

C'est l'idée d'un curé anglo-saxon, sans doute étasunien, on peut compter sur ces gens-là pour nous indiquer comment gagner de l'argent en quantité. Ils ont le pif !

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