lundi 21 novembre 2011

Je barbouille ton nom, Liberté!

J'ai capturé une image d'une vidéo du journal le Soleil de Québec où, croyais-je, l'on voyait qu'un vandale (qui n'était manifestement ni un graffiteur, ni un graffitiste) avait écrit le mot «Liberté» sur une paroi du Grand Théâtre à Québec plutôt que sur ses cahiers d'écolier comme le faisait Paul Éluard.
Mais ce vandale c'est la direction de
Grand Théâtre.
On a produit ce graffiti pour fêter les 40 ans du théâtre.
On a déjà vu mieux comme fête.
À mon sens la revendication est plus intéressante à l'intérieur même du bâtiment, dans la murale de Jordi Bonet.
Voyez:

La murale sera toujours là quand les étoiles tomberont (à moins que les véritables vandales -en smoking et en robes longues toujours- ne parviennent à la faire détruire comme ils l'ont tenté déjà lors de son dévoilement, vous vous doutez pourquoi).
Le maladroit graffiti de la direction du Grand Théâtre sera vite effacé et, espérons-le, oublié.
Je ne pense pas qu'il aura posé, lui, le
Grand Théâtre comme un espace de liberté.

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