mercredi 18 mai 2011

Fin du sale pétrole

Vivre en banlieue devient hors de prix pour ceux qui y habitent et ont un travail en ville et, surtout, qui s'y rendent en voiture.
Je suis, pour ma part, heureux de cette évolution.
Elle amènera peu à peu la disparition de l'utilisation des énergies fossiles, c'est-à-dire du pétrole.
Et, nécessairement, la fin des grandes puissances actuelles qui se sont édifiées sur lui jusqu'à présent et ont imposé leur civilisation et leur manière de vivre: l'infinie étendue des zones urbaines aux dépens des campagnes (la désertification des campagnes), la désertion des villes centres au profit des villes satellites, la quasi disparition des transports publics, et particulièrement des transports ferroviaires (en Amérique du nord), la quasi disparition des productions agricoles locales au profit des productions étrangères transportables sans grands frais, etc.
La disparition de l'utilisation du pétrole verra la fin de cette civilisation du gaspillage et, j'espère, de la domination des forts sur les faibles.
La bienvenue disparition des forts, dont la force repose en grande partie sur l'utilisation de véhicules et autres machines à pétrole.
On en voit déjà les signes.
Patience!

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