mercredi 16 mars 2011

White at last!

Une bande dessinée très cruelle mais véridique à l'égard de Michael Jackson et de la triste aventure qu'a été sa vie non artistique.
Il me fait penser, cet acharnement maladif à devenir blanc, à la hâte des Québécois francophones émigrés au Canada de devenir anglais et de ne plus parler que blanc, si je puis me permettre cette traduction de la phrase anglaise «Speak white!» à laquelle ils se hâtent avec veulerie et basse soumission (ou plus vraisemblablement par inculture crasse) d'obéir.
Cela les transforme en l'équivalent de la dernière incarnation du chanteur qui ne voulait pas être noir.

1 commentaire:

orfeenix a dit…

Merci pour votre courtoisie mais les victimes de la malbouffe finissent aussi bouffies, c' est un truisme!

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