lundi 28 février 2011

Et qu'un seul vous apprenne à les connaître tous

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Mirage, car même pour les étrangers (c'est nous) la démocratie existe à peine, toujours menacée par l'imbécilité ou l'insouciance ou les petits calculs des élus.
Vous avez reconnu vos élus, « bénéficiaires » de la démocratie ?
Je souligne « petits calculs ».
Vous voulez savoir quelles étaient les convictions d'Abraham Lincoln sur l'émancipation des Noirs ?

[...] Abraham Lincoln n'échappe pas totalement aux préjugés de son temps. Il ne croit pas les Noirs pleinement assimilables dans la société américaine, et s'il est prêt à leur consentir des droits économiques et sociaux, il refuse l'idée d'en faire des citoyens de plein droit, électeurs et membres de jurys. Il souhaite l'extinction de l'esclavage, mais il l'envisage comme une évolution lente, avec peut-être un retour massif des Noirs libérés vers l'Afrique. Pour lui, la liberté américaine est indissociable de son fond culturel européen.

Il était partisan pour les États-Unis de l'apartheid que l'on verra en Afrique du Sud pendant tant de décennies.
Et c'est une figure de proue de la démocratie étasunienne.
« Ab uno disce omnes » dont voici la traduction en alexandrin :



Et qu'un seul vous apprenne à les connaître tous.


Cela s'applique à tous ceux qui se disent partisans de la démocratie.

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