lundi 17 mai 2010

Censure chinoise (entre autres): une entrave au commerce et aux traités internationaux

(L'article original est ici)

Quel ingénieux cerveau que celui de cette Mme Kroes, vice-présidente de l'Union européenne et commissaire à la société numérique.
«La censure exercée par la Chine sur l'internet (sic) représente une barrière commerciale et devrait être discutée dans le cadre de l'Organisation mondiale du commerce», a-t-elle déclarée.
C'est par leur désir de faire de l'argent, par leur cupidité qu'on viendra à bout d'eux, ces petits pseudo-prolétaires qui prétendent réglementer les esprits de gens qui (pour certains d'entre eux) leur sont supérieurs à tous égards.
Et quand les instances internationales auront l'idée d'invoquer contre eux (et contre tous les impérialismes et impérialistes culturels et linguistiques actuels) la «Convention sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles» de l'Unesco, ce sont tous les empires qui nous empoisonnent le cerveau qui tomberont (et je ne parle pas que de la Chine dans cette perspective).

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