mardi 19 janvier 2010

Bastet prophète?

On comprend qu'un chatte ait été la déesse de la maternité pour les Égyptiens anciens (véritables?).
Chaque fois que j'ai vu un chatte prendre soin de ses chatons nouveaux-nés, elle m'a toujours paru effectivement comme une sorte de parangon des mères.
Mais ce qui m'intéresse dans la découverte imprévue d'un temple à la déesse «Bast» (appelée «Bastet» à cause d'une erreur de transcription) à Alexandrie (voir ici l'article du Monde) c'est que l'on découvre encore quelque part des choses imprévues en provenance directe de l'Antiquité.
Cela renouvelle mon espoir qu'on retrouve un jour, de manière imprévue, toutes les œuvres littéraires perdues de l'Antiquité grecque et latine, tragédies de Sophocle, Eschyle, Euripide, comédies d'Aristophane et de Térence ou de Plaute, vers de Pindare, mémoires et vers d'Hadrien, etc.
Œuvres perdues par négligence (que valaient les textes païens devant le retour prochain du Christ dans lequel croyaient les naïfs convertis chrétiens, millénaristes comme les témoins de Jéhovah?) ou par mauvaise foi (c'est le cas de le dire), parfois même par vengeance et désir destructeur.
Tous les croyants véritables sont fanatiques et destructeurs.
Parfois le divin hasard réussit à leur cacher des choses précieuses.

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