jeudi 15 octobre 2009

La Déesse Fortune et Vermeer à New York

La signature de celui que certains considèrent
comme le plus grand peintre de tous les temps et
dont on ne connaît même pas le visage.

On aurait dit que la déesse Fortune veillait sur notre voyage à New York.
Nous avions fait le projet d'un voyage cet automne à Amsterdam et à La Haye pour voir (entre autres) les Vermeer de ces musées (nous serions aussi allés au Louvre voir les Vermeer qui y sont).
Mais nous avons remis le voyage à plus tard à la nouvelle que le Rijksmuseum était fermé pour rénovations.
Nous sommes plutôt allés à New York, comme vous le savez, et, surprise, au Metropolitan Museum une exposition Vermeer comprenant, entre autres et en plus des cinq Vermeer du Metropolitan, «La Laitière», «La Ruelle», «La Lettre d'amour», «La Femme en bleu lisant une lettre» du Rijksmuseum.
Ma femme parle de cette exposition sur son blogue, je vous y renvoie donc (ici, allez-y voir: il y a une magnifique vidéo portant sur l'exposition), et je me contente de vous présenter des tableaux qu'elle ne vous présente pas et que nous n'avons pas vus à New York parce qu'ils ne s'y trouvent pas (ils sont au Mauritshuis de La Haye où nous irons les voir un jour).
Nous n'avons pas eu le temps de nous rendre voir les trois Vermeer de la Frick Collection (site officiel ), tout près du Metropolitan, mais ce sera pour notre prochain séjour à New York.
Voici la «Vue de Delft» que je vous ai déjà montrée (ici) et «La Jeune Fille à la perle»:

Marcel Proust écrit de ce tableau:«Depuis que j'ai vu
au musée de La Haye la
Vue de Delft, j'ai su que j'avais
vu le plus beau tableau du monde».


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