dimanche 17 mai 2009

Un Chat et des livres dans la fresque en trompe-l'œil

Voici une vue presque complète de la fresque en trompe-l'œil, peinte sur un bâtiment ancien du Vieux-Québec (près de la Place Royale dont on voit une partie de l'église Notre-Dame-des-Victoires à gauche) et intitulée « Les Québécois ».
Parmi les Québécois représentés, nous avons été ravis de trouver des livres et un chat, sur lesquels nous avons fait un zoom pour pouvoir vous les faire voir de plus près. Les voici :


Ici vous le voyez mieux. Dans la fresque il est à droite en haut.

Voyez leur emplacement au centre
du bord droit de la fresque.
On les a placés là pour représenter
la première librairie de Québec,
celle d'Octave Crémazie,
poète romantique dont je reparlerai.
Cliquez les photos pour les mieux voir.

Parfois, quand les Québécois votent majoritairement « Non » aux référendums sur l'indépendance et la liberté du Québec, nous préfèrerions n'avoir que des chats et des livres comme compatriotes : l'un et les autres ne s'en laissent pas conter car ils ont le désir inné de l'autonomie et l'intelligence en partage.

Quoi qu'il en soit, même s'ils n'ont pas droit de vote hélas, les chats et les livres sont déjà des compatriotes puisqu'ils sont représentés dans cette fresque.
N'est-ce pas ?

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