samedi 18 avril 2009

Quatre vues de la cathédrale d'Amalfi

Nous aimerions bien vivre à Amalfi, sur la côte de la Mer Tyrrhénienne, si, comme tout le monde, nous n'étions pas si casaniers et attachés à notre pays natal.
Il nous semble (mais nous n'y sommes que passés et les pays où l'on ne fait que passer nous apparaissent toujours sous un autre jour que le nôtre) que s'il existe un paradis il doit ressembler à Amalfi.
Ce billet présente quatre vues de la cathédrale (puisqu'on parle de paradis). Nous avons eu de la chance car il n'y avait personne dans l'escalier, même pas nous à ce moment-là (je vous présenterai un jour des photos où nous y sommes).
Cette architecture nous semble la seule justification (avec Ravenne et Venise, qui ont su, elles aussi, ne pas devenir des théocraties monothéistes) de l'existence d'une monarchie orientale telle que Byzance dont l'influence délétère a donné naissance à la Russie (tsariste ou soviétique ou poutinienne, même chose), à la Serbie et à tous les horribles échecs nationaux orthodoxes et, par conséquent, dictatoriaux pour l'éternité, en Europe de l'est.
Comme Venise et Ravenne, Amalfi a été un certain temps sous la domination (mais heureusement lointaine) de Byzance.
Sur la dernière photo, le pantocrator, prototype de tous les dictateurs (impériaux, royaux ou roturiers).
Si vous n'y êtes jamais allés, je vous souhaite Amalfi et, si vous y êtes allés, une infinité d'Amalfi.


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