mardi 4 mars 2008

Mise en abyme (suite 1)

Voici un poème en forme de haïku (seulement en forme de haïku car il y manque certains éléments indispensables au haïku) où l'on pourrait considérer qu'il y a une «mise en abyme» mais de quelque chose d'extérieur à lui (extension considérable de la notion). Devinez comment.

En t'ouvrant ma porte
tes yeux or comme des fleurs
au clair de la lune

Et voici une photographie de la tombe de l'inventeur du haïku, Matsuo Basho:


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